la vie nomade,
paladin,
descend du cheval
opalin,
monte sa tente et
s'installe
une nuit ou deux,
l'intervalle
de moments
fructueux
d'une nuit, voire
deux,
puis repart
un matin
avant l'aube,
malin,
trainant des
grains
de l'amour
prodigue
et l'odeur des
figues,
dans les plis
au petit trot
RépondreSupprimerOh, non,brige, pas tant de figues que ça...
RépondreSupprimer;o)