La vie nomade, paladin, descend du cheval opalin, monte sa tente et s'installe une nuit ou deux, l'intervalle de moments fructueux d'une nuit, voire deux...puis repart un matin avant l'aube, malin, trainant des grains de l'amour prodigue et l'odeur des figues, dans les plis.
raconte encore
RépondreSupprimerC'est une simple métaphore pour la vie, et puis d'ailleurs, le Chemin à Damascus a déjà été raconté. ;-)
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