ce bel homme
a volé mon coeur...
un jour
faudra que je porte plainte
mais j'ai comme une idée
que ce ne sera pas
ni aujourd'hui
ni demain
ce bel homme
a volé mon coeur...
un jour
faudra que je porte plainte
mais j'ai comme une idée
que ce ne sera pas
ni aujourd'hui
ni demain
arcoíris
fenómeno óptico
luego de una lluvia
cuando el sol
ilumina
las gotas
de agua
en el aire
rojo
naranja
amarillo
verde
azul
añil
violeta
símbolo de esperanza
un puente entre el cielo y la tierra
donde viajaban los dioses
espectáculo hermoso
y lleno de magia
Personne n’a écrit sa biographie.
Il n’y a pas de film à propos de sa vie.
Nul poète ne lui a dédié des poèmes.
Ceux qui regardent sa photo ne verront ni cap, ni bracelets magiques.
Elle ne savait pas voler dans les airs.
Elle était intelligente, travailleuse et coriace.
Ses mains étaient tordues par l’arthrite et des décennies des travaux agricoles.
Elle savait traire les vaches, conduire un tracteur, élever des légumes et des fleurs.
Elle cuisinait, cousait, raccommodait, et se privait pour que sa famille vive correctement.
C’était parfois comme un cactus épineux, mais elle aimait férocement son homme et ses enfants.
Vers la fin de sa vie, elle est devenue un peu frêle et petite, mais elle est restée indomptable, jusqu’au jour où son grand petit coeur ne pouvait plus.
Mes derniers mots avec elle étaient “Je t’aime !”
Je le lui ai dit trois fois, même.
C’était une femme, tout simplement.
Ma mère.
Mon héroïne.
Au lieu de couper les cheveux en quatre cette semaine, je préfère vous parler de mon triomphe le plus récent.
Il s'agit d'avoir appris à me servir du clavier international anglophone sur mon nouveau Chromebook afin de pouvoir utiliser des signes diacritiques exigés par la langue française. Au poil !
(mouais, je me fais mousser, mais bon...)
Eh oui, j'ai rompu avec Windouze, MicroMou et tout le tralala ! C'était la barbe ! Me voici libérée avec mon clavier anglophone international.
Encore mieux, je retrouve mon vieux blog rasoir chez Blogger. Alors, mes Défiants favoris, mes chères collègues charmeuses...chauve qui peut !