C'est le stade, de nouveau à vide
Après le match
Les cris de la foule
Déjà repartie
C'est le vent un jour
De calme
L'océan à marée basse, l'oiseau envolé en migration
C'est une idée
Un souhait
Une déception
Le lion qui refuse d'avoir peur
Devant la chaise, le pistolet
Et le fouet
j'aime
RépondreSupprimerMitoute, pour une fois je pense avoir mis le doigt dessus. ;-)
RépondreSupprimerQuoi que puissent en penser les supporters, le match se passe sur le terrain.
RépondreSupprimer???
RépondreSupprimer(mon poème ne dit pas le contraire)