Ça y est, c'est fini, il rentre de la boum. Pour la dernière fois. Il n'y a plus de veuves, plus d'orphelins, plus de malades à escroquer. Il n'y a plus que la pluie et l'obscurité.S'il y avait juste un moyen de faire encore gicler les thunes, de faire des miracles, de piller et gaspiller et stocker les perles dans une banque aux Antilles.
Mais non, fini, les toréadors ont achevé le dernier taureau et ils ont mis les chiens à chasser le dernier ours.
Ça y est, c'est fini, rentrons de la boum.
[image (c) Ryan McVay, writing prompt sur About.com]
le problème est qu'ils ne seront pas seuls à payer l'addition
RépondreSupprimerQuand on voit tout ce gachis, et tous les gens que ça va mettre sur la paille, ça fait peur.Le Fric, il n'y a plus que ça qui compte aujourd'hui. Qu'est-ce que la vie d'un homme de nos jours face au "Dieu fric"? Pas grand chose surtout si celui-ci est en bas de l'échelle.Je n'ai pas peur pour moi, mais je suis inquiète pour le monde laissé à nos enfants.
RépondreSupprimerL'argent est un mirage et l'économie est un leurre. Mais à cause de cette fiction, les gens meurent de faim...
RépondreSupprimer(Beau ton texte comme tous ceux que je lis par ici).
Bah ... je prends le pari que tout ça recommencera. Que demain ou après demain tout au plus, nouvelle boum. Seuls les acteurs changent, le cirque demeure.
RépondreSupprimer(ça va, princesse depuis le temps?)