Esperant par Julio Romero de Torres |
adéu, carme
j'entendrai longtemps
ton chant
celui de notre rencontre
celui de notre amitié,
de notre amour,
de notre complicité
le chant de mon fils
dans ton ventre
et, en suite, les deux petits
refrains
no me espera
ne m'attends pas
ne m'espère plus
je ne reviendrai pas
j'ai entendu le chant
du tambour, des canons
j'ai entendu le chant
du sang des hommes
adéu, carme
j'entendrai longtemps
ton chant
aussi
et je l'apprendrai à ton fils
RépondreSupprimerMa chérie je t'embrasse tendrement une dernière fois.
RépondreSupprimerJe te lègue le souvenir de notre amour.
Nos chers petits sauront t'aimer comme je ne pourrai plus le faire.
Sois forte !
Adieu.
@ brige : Non. Il ne revient pas. L'enfant grandira dans l'abandon paternel. La leçon sera autrement.
RépondreSupprimer@ SklabeZ : Je ne sais pas si un coeur si tendre peut s'en aller en guerre. ;-)
Le monde est mal fait !
RépondreSupprimerCœur tendre ou pas, on ne leur demande pas leur avis.
Ce sont les cœurs de pierre qui décident de les envoyer à la guerre. ;-)
Plus maintenant chez moi, ce sont tous des volontaires.
RépondreSupprimerAu temps pour moi, je n'ai pas utilisé le bon.
RépondreSupprimerj'aurais dû utiliser l'imparfait. ;-)
Parfaitement !
RépondreSupprimer;o)