Il y a peu qui survit au désert.
Le sable pardonne
De mauvaise grâce et
Le soleil encore moins.
Un jour sous la cruauté du midi
Ou peut-être dans la nuit,
Comme un assassin
Viendra un bandit
Pour boire une dernière fois
Le nectar grisant des fleurs
Comme des rubis noirs.
Sous la lune qui luit
Murmureront les os oubliés
Au canyon rigide et creux.
dureté des affirmations nues
RépondreSupprimerIl y a des choses qui ne pardonnent pas, et qui ne se pardonnent pas.
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