« ...le roman est mort. Il n'a pas résisté à la vague bien creuse du "nouveau". Il est devenu ignoble et répugnant. Vérole, galopant vérole des mégoteurs autour de ce rien qui devait suffire à faire LE livre arrimé sur la très phallique "force du style", vérole des raconteurs d'eux-mêmes, des contemplateurs de leur Moi si original, pire, des observateurs de leurs désastres. Ignominie, surtout, de l'autofiction pleurnicharde, indigeste et faisandée... »
- Héléna Marienské, Rhésus.
Si le roman est mort, écrivons des nouvelles !
RépondreSupprimerOu des vieilles...
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