Tu sais qu'il arrive.
Tu sais qu'il sera dévastateur.
Tu peux te préparer.
Tu peux te faire plus comme le roseau qui se plie dans le tourment.
Tu peux perdre tes habitudes de chêne raide et enraciné, qui cassera sûrement contre le vent rageur.
Tout cela, tu le sais.
Alors, tu attends.
Tu sais qu'il arrive.
Tu sais qu'il sera dévastateur.
tu finis presque par souhaiter qu'il arrive
RépondreSupprimerAh oui, l'attente elle aussi fait des ravages.
RépondreSupprimerje pense comme brigetoun...
RépondreSupprimermais malheureusement j'essaie d'être un chêne-roseau hahaha
Absolument !
RépondreSupprimerSans colonne vertébrale, nous ne sommes que des vers.
;-)