OUATE ET VERRE

OUATE ET VERRE

30.1.11

Flagada flagrante

Ça me fatigue,
la tragédie prodigue.

Le sac de poubelle qui fait voir
noir,
oui, on a compris.

La vie est une série de fléaux, de drames,
d'amertume qui mange les popcorns de nos âmes,
oui, je sais,
mais...

L'éléphant de tristesse bouffe les marguerites de ta joie ?
Qu'est-ce qu'on soooooooooooooooouffre, on devrait faire une loi ?
Les flèches de mortalité nous poursuivent comme...des flèches ?
Il y a des punaises dans tous les squats où tu crèches ?

Oui, oui,
je vous suis,
c'est gratte-tuit.

Mais sachez que ça me fatigue,
la tragédie prodigue,
ça me gave comme une oie,
ma foi.

Alors, lâchez un peu ce tonneau
avant qu'il ne soit
trop tard.

4 commentaires:

  1. non, je veux que vous le répétiez

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  2. Que je répète quoi ?

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  3. Je souscrirais bien au discours mais l'image du tonneau, à la fin, elle me Diogêne un peu !

    Elle fait un peu trop Danaïdes of march !

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  4. Hélas, ce n'est pas tout le monde qui a ton talent pour le mot juste, Joe ! ;-)

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