« Avant d'exiger la liberté, je dois me libérer de mes propres entraves. »
Les barreaux patientent devant ta porte
Et ton regard qui ne rencontrera pas le mien.
Le soleil haut dans le ciel
Ne laisse pas d'ombre ni d'ombrage.
Tu t'entoures de tes chaînes,
Tu fais d'elles un beau manteau de fer
D'enfer.
Les gouttes de pluie qui arrivent à ton seuil
Repartent en vapeur, sifflant du contact.
Et pourtant, tu cries,
Piteusement,
« Qu'on me libère ! Qu'on me libère ! »
Étraves
RépondreSupprimerQue rien n'entrave …
Oui, soyons proue-dentes.
RépondreSupprimer:-)
ah ! ah !
RépondreSupprimerSi tu cliques sur le lien, elle est pour Toi !
Quel lien, Sar@h ? Chez toi ? J'irai voir.
RépondreSupprimerCelui-ci :
RépondreSupprimerhttp://sarah-perso.blogspot.com/2007/06/cur-de-rose.html
Merci !!!
RépondreSupprimer