joye, J'avais répondu ici du haut de cet abaque ou du haut des Canopées en direction de cet abaque... mais je ne sais plus bien quoi. Savez-vous que je vous trouve tatillonne? C'est les chiffres, les sciences exactes qui font ça, votre sourire révèle tant d'innocence, d'où vient cette contradiction, Mrs joye? le goût pour la littérature et les Arts? L'impossibilité avec vous d'introduire de l'à peu près, du presque rien, un petit quelque chose, enfin de l'inattendu à vos yeux. C'est plus qu'agaçant à la fin. On dirait que vous êtes tjs sur vos gardes. J'imagine que ça va cingler.Essayez, voulez-vous, de procéder autrement, vous n'en reviendrez pas. Faites abstraction du conseil pontifiant, con, répondez, voulez-vous, comme vous répondriez à un copain dont vous seriez sûre qu'il ne vous veut aucun mal et qui ne chercherait pas non plus votre bien. Croyez-moi, j'ai pris des risques énormes ici. Balthazar
C'est intéressant, ton commentaire. Je ne suis sûre de personne, donc ce n'est pas personnel, hmm ?
Je suis navrée de t'agacer, ce n'est pas mon intention, et cela m'attriste que tu penses que tu ne peux pas écrire sans prendre des risques.
Ce poème était un écho de ce que je pensais recevoir d'autres, alors, j'ai voulu répondre pareillement. J'ai mis le manteau afin de voir s'il m'allait.
Je cherchais à me réchauffer en me libérant de mes propres entraves.
C'est pas encore gagné.
Mais merci, merci, merci d'avoir répondu. Je supporte mal les silences des autres (comme tu as pu sans doute remarquer).
joye,
RépondreSupprimerJ'avais répondu ici du haut de cet abaque ou du haut des Canopées en direction de cet abaque... mais je ne sais plus bien quoi.
Savez-vous que je vous trouve tatillonne? C'est les chiffres, les sciences exactes qui font ça, votre sourire révèle tant d'innocence, d'où vient cette contradiction, Mrs joye? le goût pour la littérature et les Arts? L'impossibilité avec vous d'introduire de l'à peu près, du presque rien, un petit quelque chose, enfin de l'inattendu à vos yeux. C'est plus qu'agaçant à la fin. On dirait que vous êtes tjs sur vos gardes.
J'imagine que ça va cingler.Essayez, voulez-vous, de procéder autrement, vous n'en reviendrez pas. Faites abstraction du conseil pontifiant, con, répondez, voulez-vous, comme vous répondriez à un copain dont vous seriez sûre qu'il ne vous veut aucun mal et qui ne chercherait pas non plus votre bien.
Croyez-moi, j'ai pris des risques énormes ici.
Balthazar
C'est intéressant, ton commentaire. Je ne suis sûre de personne, donc ce n'est pas personnel, hmm ?
RépondreSupprimerJe suis navrée de t'agacer, ce n'est pas mon intention, et cela m'attriste que tu penses que tu ne peux pas écrire sans prendre des risques.
Ce poème était un écho de ce que je pensais recevoir d'autres, alors, j'ai voulu répondre pareillement. J'ai mis le manteau afin de voir s'il m'allait.
Je cherchais à me réchauffer en me libérant de mes propres entraves.
C'est pas encore gagné.
Mais merci, merci, merci d'avoir répondu. Je supporte mal les silences des autres (comme tu as pu sans doute remarquer).