par Joseph Christian Leyendecker |
Jessica faisait semblant de lire. Charles le regardait à son aise dans la lumière.
Hier soir, à la cabine, une femme qui luisait, ses cheveux défaits, sa bouche entrouverte, ses bras et ses hanches arrondis, ses yeux brillants grands ouverts, ses seins impudents dansant au-dessus de lui, et sa voix qu'elle n'a pas su retenir...
Et ce matin, sur le pont, voilà cette fille silencieusement pudique, réservée, correcte, impeccable, sans reproches.
Laquelle était-elle vraiment ? se demanda-t-il, sans pouvoir se décider.
Mais, finalement, c'était sans importance.
Il était content d'avoir épousé les deux.
Il était content d'avoir épousé les deux.
ah ! la même impression que moi (je ne suis pas cet atelier, mais j'étais en désaccord avec l'interprétation de l'autreje) - la retenue en public est tellement plus charmante, dans l'attente
RépondreSupprimerBienvenue au pays d'En vos mots et au plaisir de t'y revoir!
RépondreSupprimerj'aimerais beaucoup partir en croisière. Bon, en voyages de noces, c'est raté. Mais j'aimerais quand même.
RépondreSupprimerJolie interprétation.
Ce petit texte dit beaucoup, j'aime.
RépondreSupprimerMerci à toutes.
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