Elle est suffisante, je ne l'aime pas du tout, pour qui se prend-elle, la garce ?
Il est suffisant, je ne l'aime pas du tout, pour qui se prend-il, le con ?
Mais l'ivrogne. Ah l'ivrogne qui boit parce qu'il a honte et qui a honte parce qu'il boit.
Ah, l'ivrogne.
Un homme, quoi.
Imparfait, sous pression dans son bocal, même s'il n'y a plus personne auprès de lui. Mais il ne boit pas pour sa solitude.
Il boit pour les cicatrices que quelqu'un a dû laisser dans son âme, comme un marquage au fer qu'on fait à un boeuf.
À lui, je lève mon verre.
douceur des blessures
RépondreSupprimerJe ne sais pas, brige, je le ressens comme une violence, la honte qu'on essaie d'impregner aux autres.
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