Le lit étroit, le livre épais, toute cette lumière qui éclaire le vide du lit,
Les épaules vaincues, la tête baissée, du rouge qui passe pour une bouche.
Elle attend, patiemment. Le fauteuil, fermé comme un poing, la menace.
Elle gardera sa distance, elle ne tentera pas ses chances. Elle restera là,
Sachant qu'on oubliera bien son visage, son corps, cette valise déjà rebouclée.
J'aime énormément. Le style me plaît et il est tellement en accord avec l'illustration que c'est un bonheur.
RépondreSupprimerMerci de m'avoir passé le fil.
Bisous,
mamirêve
Mami ! Quel plaisir de te voir ici !!! Merci beaucoup d'avoir visité ! J'étais juste sur le point d'écrire de nouveau à la femme sur l'image, pour la consoler du fait qu'on l'avait encore laissée toute seule.
RépondreSupprimerMerci encore Mamirêve, j'espère que tu reviendras !
Merci de donner non seulement à regarder, mais à voir avec sensibilité ...
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