Tableau par Antonio Abellan |
Plus rien n'est une surprise -
Ni le temps, ni la mort,
Ni les tricheurs dans les sports,
Ni les meurtres, ni la crise.
Plus rien n'est inconnu -
Ni les gens, ni la terre,
Ni la haine planétaire,
Ni la faim, ni le mal non avenu.
Plus rien ne nous se cache -
Ni l'horreur, ni l'injustice,
Ni bataille, ni armistice,
Ni courageux, ni lâche, si lâche.
Et pourtant :
Plus rien n'est en gazette
Avant de se lire sur l'Internet.
Ah, l'internet !
RépondreSupprimerSans lui, que deviendrait-on ?
Je ne sais pas. Pour moi, moins l'occaze de servir de tête de turc ?
RépondreSupprimerMais non !
RépondreSupprimerCe sont des idées que tu te fais !
Je dis ça, je dis ça, mais il m'arrive aussi très souvent de penser ce genre de truc ;-)
Voilà. ;-)
RépondreSupprimerL'internet, c'est un peu de l'eau gazeuse, non?
RépondreSupprimerJ'aime l'eau qui pique.
RépondreSupprimerLes gens qui piquent, beaucoup moins.
;-)
Les gens qui piquent me rase, c'est épique!
RépondreSupprimer...Et très masculin.
Badoit, San Pellegrino ou Salvetat?
( J’ai ma préférence...)
Nous croyons tout savoir, que ce soit par les journaux, par la télé ou la radio ou internet. Pourtant le travail à faire, c'est de démêler la vraie information. Moi j'essaie autant que possible de la trouver directement à sa source et je boycotte la plupart des vecteurs "informatifs" classiques. Pas de journaux (sauf si j'avais le courage de lire Le Monde Diplomatique, et quelques-uns pas connus qui diffusent de bonnes infos et initiatives) et pas de journal télévisé. Les titres à la radio me suffisent! Et ponctuellement quelques approfondissements lorsque je le juge nécessaire.
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