Red Cello Quintet par Raoul Dufy |
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menuet
m’a émue
largamente
et
rubato
sa main
tenait la mienne
d’un air
riant
naissant
bruscamente
et
con fuoco
sa bouche
trouvait la mienne
et voilà,
la violence
du violoncelle,
fut désaltérée par l’alto
ma non troppo
menuet
m’a émue
largamente
et
rubato
sa main
tenait la mienne
d’un air
riant
naissant
bruscamente
et
con fuoco
sa bouche
trouvait la mienne
et voilà,
la violence
du violoncelle,
fut désaltérée par l’alto
ma non troppo
et doucement, andante, j'aime
RépondreSupprimerGrazzia, bella.
RépondreSupprimerSympas tes mots en jonglage, c'est chouette, bon week end...
RépondreSupprimerC'est doux et chaud, très évocateur en peu de mots. J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerSobre et délicieusement voluptueux.
RépondreSupprimerTe dire que je n'aime pas serait mentir.
@ captaine : Hello, merci beaucoup pour ton com' ! C'est sympa de venir me lire ici !
RépondreSupprimer@ SklabeZ : Ah, sobre, ce n'est pas un adjectif qui me décrit trop souvent ! Merci pour ton com' ! ♥
Pas toi, mais ton texte, sobre au sens "non troppo" juste ce qu'il faut, pile-poil comme j'aime. ♥
RépondreSupprimer@ Pierrot : Je te demande pardon, j'avais bien vu ton com', mais je n'y ai pas répondu ! Merci beaucoup pour ton commentaire ! ♥
RépondreSupprimer@ SklabeZ : Ce qui est de moi est une partie de moi, wala. ;-) Tu dois être un homme très classieux, je ne te connais pas du tout, mais cela se voit dans tes mots.
Ma non troppo, un trope bien distinctif ou bien la sagesse fougueuse?
RépondreSupprimerTroppo serait trop ! ;o)
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