Le rouleau et le seau m'attendent.
Pour mon crime, je suis condamnée
À peindre les murs du sous-sol,
Les murs qui m'attendent, qui m'accusent
De négligeance.
Je mettrai ma chemise de poils
Qui grattent, ma couronne d'épines
(ça en jette)
Je porterai mon échelle
Comme une croix
Et une fois la torture terminée,
Je sourirai, tâchée de blanc
Mais béate.
Sans dec', tu es encore dans la peinture ?
RépondreSupprimerYéfini pour le moment. Il reste deux murs, mais on ne va pas les faire...le projet d'hiver arrive à sa fin...
RépondreSupprimer