Je ne saurais jamais écrire un poème aussi beau que le lever du soleil ce matin chez moi. Les brûmes collaient à la terre et y gisaient juste au-dessus dans une couche vague entre la terre et le ciel, entre la mortalité et l'éthéré. La plume ne vaudra jamais l'oeil, tout comme le Paradis devra toujours laisser à désirer... Et donc, je t'adresse ces mots inadéquats, ô beau soleil, ô ciel ravissant, ô phénomène qui éblouit et qui berce en même temps...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire