OUATE ET VERRE

OUATE ET VERRE

19.5.05

Beau comme ce matin...

Je ne saurais jamais écrire un poème aussi beau que le lever du soleil ce matin chez moi. Les brûmes collaient à la terre et y gisaient juste au-dessus dans une couche vague entre la terre et le ciel, entre la mortalité et l'éthéré. La plume ne vaudra jamais l'oeil, tout comme le Paradis devra toujours laisser à désirer... Et donc, je t'adresse ces mots inadéquats, ô beau soleil, ô ciel ravissant, ô phénomène qui éblouit et qui berce en même temps...

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