OUATE ET VERRE

OUATE ET VERRE

2.9.20

saga estivale épi 5

L’histoire jusqu’ici ici et maintenant…

Épisode 5 :  Des nuits blanches, des migraines, des nervousses brékdones

Eh oui, L’Adrienne, Tatie flingueuse extraordinaire, embrassa la grenouille qui tenait de Lino Ventura, et s’en alla vivre en Italie avec lui, [je dis cela en résumé parce que certains parmi vous ne semblez pas avoir le courage de lire les résumés que je mets en lien chaque semaine, je dis ça, je dis rien, hein ?] ayant servi de personnage principal dans cette saga pendant tout le mois de juillet.

Ce fut bien normal alors qu’elle s’offre un peu de vacances bien méritées pour son aimable participation…et aussi qu’elle prenne, à partir du désormais, le thé tard.  [Non, même pas honte !]

Quand Don Walrusleone apprit qu’elle partit avec son prince, il ne s’affola pas. Il prit son pistolet…et en fit un sandwich pour prendre dans le Thalys en allant chercher autre flingueuse pour devenir le personnage central dans cette saga.

Malheureusement, à la gare du Midi [Brussel-Zuid pour les flinguophones...oups, pardon, je veux dire flamandophones], on annonça une irruption de service à cause du Covid – pas moyen d’aller en France afin de donner des ordres à la Flingueuse Kate, et tant pis, parce qu’elle était en ce moment dans l’Eurostar, allant à Londres pour son rôle de Hippolyte dans « Le Songe d’une nuit d’été [On est déjà après tout, le premier août, hein ? Mais ne nous affolons pas, il y aura encore quatre samedis ce mois…eh oui !].

Évidemment, la frontière belgo-albionne n'était pas fermée ! [Depuis le Brexit, ils se croient tous permis, ces perfides]

Mince ! Que faire ?

En sortant de la gare, il vit le fleuriste [À savoir Katia & Vonny, non, oui, vraiment Googlez-le si vous ne me croyez pas] et il eut une idée !

En même temps, dans un petit jardin fleuri en Normandie, la belle Tatie flingueuse Bongopinot s’occupa des vers…non, pas ceux qui mangeaient ses plantes, mais des vers poétiques qu’elle couvait avec soin afin de confectionner de jolis poèmes. Elle venait tout juste de terminer quand elle entendit sonner sa flinguefleur [okay, non, vous n’avez pas loupé un épisode, mais la flinguefleur est une sorte de télécommunication où le microphone est déguisé comme un hibiscus. Et non, vous n’avez jamais entendu parler d’une telle chose, parce que je viens de l’inventer, voilà pourquoi…]

 

microphone

 

-          Flingueflingue ! Flingueflingue ! sonna la flinguefleur . [ben non, elle ne fit pas drin, drin, non, quelle idée !]

-          Allô, coucou, que puis-je pour vous ? rimait la Tatiepoète.

-          Bongo, c’est moi, Don Walrusleone, j’ai besoin de votre aide !

-          Oui, chef, à la gare SNCF ? [oui, elle l’appelle « chef » et non pas « don », vous avez une petite idée de ce qui rime avec « don » ? Hein ? et vous pensez que la belle Tatie flingueuse bongo s’en servirait ? Alors, non, pardi !]

-          Oui, c’est ça. Je vous attends.

-          À bientôt en stilettos ! répondit-elle. [ben quoi ? baskets ne rime pas]

Soulagé, Don Walrusleone décida d’attaquer son pistolet-sandwich. [mais oui, il a oublié que si lui ne pouvait pas prendre le Thalys, elle non plus, mais tout cela sera à résoudre la semaine prochaine !]

À suivre…

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