L’histoire jusqu’ici ici et maintenant…la stunningue conclusion…
Épisode 9 : J’ai toujours rêvé d’être une Flingueuse
Trois ans plus tard… [bah oui, hein, vous pensiez qu’il n’y aurait pas de pauses publicitaires dans cette saga déjà longue de huit épisodes ? Non ? Vraiment ? ]
Don Walrusleone promenait son joli toutou dans un parc [dont je supprime le nom afin que ledit lieu ne devienne envahi par des hordes de ses fans].
- Eh oui, ma toutoute, on les a bien eues, n’est-ce pas ? murmura-t-il à sa compagne.
- Yip ! répondit la petite.
- Et pourtant, on a bien rigolé, non ?
- Ouah ! Ouah ! Ouah ! dit-elle.
En ce moment-là, le Flinguecoptère atterit devant eux, et six nénettes superbes sortirent [oui, c’était un GRAND flinguecoptère, et je mets sortirent parce que débarquèrent me paraît trop bizarre au passé simple…non, je ne sais pas pourquoi].
- Depuis le temps le temps qu’on vous cherche ! cria la première.
- Ouais ! ! grommela la deuxième.
- T’as pas honte ? demanda la troisième.
- Ouais ! T’as pas honte ? demanda la quatrième [qui aimait le recyclage].
- Don Walrusleone ! dit la cinquième. On est là pour y mettre fin !
- Out ! Out ! Damned Spot ! dit Kate, qui venait de faire encore un malheur sur scène à Londres.
- Je ne m’appelle pas Spot ! gémit le toutou, blessé au vif.
[Les lecteur·e·s astucieux·ses y auront remarqué non seulement mon emploi expert de l’écriture inclusive, mais aussi le manque des noms pour ne pas faire des jalouses…okay, oui, mais vous auriez quand même reconnu Kate tout de suite]
Or, Don Walrusleone n’était pas stupide [comme ses collègues du labo pourraient vous l’attester]. Il savait que c’était le moment de la GRF [Grande Rétribution Flingueuse]. Il savait qu’il devait enfin payer son jeu qui faisait que les Flingueuses repartissent dans une grande saga d’été sans savoir où il était, sans savoir s’il était mort ou en vie, et surtout sans avoir flingué une seule personne dans toute la stupide saga !
Les défiant [eh oui, c’était un samedi, après tout] du regard, Don Walrusleone prit sa place devant la grande porte du jardin, refusant gaillardement le bandeau et la dernière cigarette [après tout, fumer tue].
Les Taties flingueuses levaient leurs flingues afin de faire l’horrible bye-bye [amis de Souchon, bonjour] et…
À ne pas suivre !!!
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