se perdre dans les gouffres
dans les soupirs, dans l'absolu
qui émane une odeur d'indécis
et faire des rêves troublés
à propos des portes fermées
des fenêtres noires cassées
et leurs éclats qui taillent
une peau trop tendre
et des doigts trop tendus
J'espère que ce beau poème ne parle pas de toi...
RépondreSupprimerPeux-tu m'envoyer un mail? Je ne retrouve pas ton adresse... :-)
Mes poèmes jouent surtout sur la langue française, je t'assure.
SupprimerJe vais essayer de t'envoyer un mail ! (si j'ai encore ton adresse électronique !)