Ce n'est pas ton silence qui m'afflige,
Ni la grosse lacune qui a pris sa place entre nous,
Ce n'est pas ton silence qui oblige
Ces quelques mots qui pointent au rendez-vous.
C'est le creux abandonné de ton coeur
Où siffle encore le vent, en vertige,
C'est l'oubli de toi qui est voleur :
Ce n'est pas ton silence qui m'afflige.
Alors, je peux continuer à me taire ! ;-)
RépondreSupprimerNoooooooooooooooooooon !
RépondreSupprimerEt si c'était quelqu'un qui ME le disait ? Hmm ?
Bises, Walrus. Je t'adore.
Et moi, contente de retrouver quelques mots de toi … ici
RépondreSupprimerMerci Sarah !!!
RépondreSupprimerUn plaisir de te lire :-) Gros bisous Joye.
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