Au dehors, ça hurle.
Le vent fait vibrer les fenêtres, il lèche les bords, il fouette la neige, qui, elle, s'enfuit en courant.
Les flocons s'emmêlent, se perdent, battues par cette belle bise sans merci qui vient imposer sa volonté sur les plaines.
On ne voit plus rien, on se perd dans le gris, dans le blanc, dans le noir, dans le blanc, mais on entend toujours
Qu'au dehors, ça hurle.
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